Maeva de l’Isle est née à Paris le 4 décembre 1965. Auteur de poésies et Enseignante d’Université en Expression et Communication, très tôt elle s’intéresse à l’art sous toutes ses formes et en particulier la poésie. Son combat : la défense de culture, de la nature, des droits humains et de la dignité pour tous. Puis, elle s’engage dans les associations qui luttent pour le respect de la personne humaine : droit à l’éducation pour tous, lutte contre l’illettrisme et l’analphabétisme, communication et développement de la personne. Ses points forts : faire prendre conscience que les droits de l’homme, de la femme et de l’enfant sont interdépendants de l’éducation et que tout être ( immigré, RMIste , marginal, exclu, handicapé mental ou physique…) a le droit à l’éducation laïque et au respect de sa personne. Son combat : convaincre que seuls la beauté, l’amour et l’harmonie peuvent aider l’homme dans le respect de soi et d’autrui.
En 1989 elle passe une Licence de Communication qu’elle obtient en Sorbonne et en 1995 un Troisième Cycle ( DESS) en Gestion des Ressources Humaines à l’IICP de Paris.
Ses fonctions l’amènent à tenir différentes responsabilités et elle devient Directrice de l’Institut International de Commerce et de Communication du Val d’Oise en 1999.
Ce n’est qu’en 2001 qu’elle décide de tout abandonner pour se consacrer entièrement à l’écriture, la poésie, la littérature et toutes les formes d’art. La naissance de sa petite fille sera décisive
Aujourd’hui le combat prend toute sa signification ; la paix et la beauté ne règneront sur la planète que lorsque chacun d’entre nous - Citoyens et Politiques – prendront des mesures en faveur de la lutte contre toute forme de dictature quelle soit politique, économique, religieuse… Et c’est avec ferveur qu’elle nous invite à défendre les droits de la femme et de l’enfant à travers le monde. Récemment mère d’une petite fille, Gaiama (Gaia : terre ; muse de la musique et de la poésie ; inspiratrice des peintres comme Dali et Picasso – Ama ou Ma : mère), elle se consacre à la poésie pour enfants et à l’écriture de contes.
Elle mène un combat pour que tous les enfants de la terre aient accès à la connaissance non fanatisée et à la culture laïque.
Elle anime des ateliers d’écriture de contes et de poésie. Car la poésie et la créativité sont le vecteur du progrès de l’homme dans l’univers. Dans sa quête permanente du beau, ses ateliers nous invitent au rêve, à la découverte du potentiel humain qui est en chacun de nous ; vecteur de transformation personnelle ou simplement de découverte et de partage.
Récemment, elle s’est intéressée au réchauffement de la planète et à la protection de l’environnement. Elle s’est engagée en 2005 pour le « Festival de la terre » qui regroupe chaque année en juin de nombreuses personnalités en faveur de la protection de notre planète terre.
Aujourd’hui elle est également capable d’animer en tant que thérapeute des ateliers de développement personnel auprès de particuliers, d’écoles, d’associations ou d’entreprises.
Vous pouvez retrouver les poèmes que vous avez aimé dans « Les petits poèmes d’Océanie – L’éveil de la poésie, un éveil vers la beauté » Maeva de L’Isle – Editions « Hay… comme Ecriture » ou Sur simple demande en envoyant votre chèque de 20 euros – frais d’envoi compris à « Hay… comme Ecriture » - Maeva de L'Isle chez Mme HAY 25 rue Barla 06300 NICE – Ou faire votre demande par mail 15 € pour les « petits poèmes d'Océanie » et 16 € pour le roman « Boris Passounov » à
maevadelisle@voila.fr ,
Paru en septembre 2006 son premier roman Boris Passounov qui conte les aventures d’un jeune homme Boris, qui vit à la campagne et qui décide de s’engager dans l’armée pour vivre de fabuleux voyages. C’est son histoire qui est raconté et celle d’une saga qui va jusqu’en Océanie- un voyage dépaysant à travers les cultures et les civilisations. Aux Editions Publibook
A tous ces héros
(Poème en vers libres)
Tous ces capitaines dont les incessants reproches
Confinent dans leur coin
Renferment au plus profond d’eux-mêmes
Leur égoïsme et leur absolutisme démesuré
Hommes furieux, hommes démesurés,
Le petit dictateur a mal
Besoin de se faire remarquer
Besoin d’exister
S’aime t’il au moins ?
Il va accumuler les conquêtes
Les mettre au pinacle de ses trophées
Les épingler à sa boutonnière
Aux gens qui se sont battus pour nous
A ce qui se sont dévoués corps et âme
Maeva de L’Isle
Amiens, le 14 mars 2008
ABSENCE DE MOTS
(vers libres)
On se tait dans le silence…
Tu voudrais que je t’aime
Mais tu m’enchaînes
Tu voudrais que je t’aime
Comme un tout petit toutou
Qu’on peut tirer par le bout du nez
Imposer sa volonté
Jamais négocier
Quelque chose se détruit
En cette fin d’hiver
Que c’est triste alors que tout est possible…
Tu n’as pas su me guérir de ma tristesse originelle
Le désastre n’est jamais une fin
J’irais cueillir les fleurs de ton ciel noir
Et je m’en ferais une gerbe
Tu me quittes de ton silence
Tu m’insultes de tes paroles
L’abeille ne produira donc jamais son miel
Tu empreintes mon image que tu essaies d’emprisonner
A jamais pour te venger de ton passé
Mais tu ne peux m’enfermer dans ton mirage
Il ne t’appartient pas, même si tu l’as signé
Laisse la libre volonté s’exprimer !
Place au rêve bon sang,
Tu n’as rien compris
Tu te prends pour un héros,
Mais tu n’es qu’un homme et c’est déjà pas mal
Tu n’es que l’ombre de toi-même
J’ai bu ton infâme breuvage
Qu’on ne m’y reprenne pas
Tu exiges l’ hors du commun qui
Me transcende et me fait tournoyer
Dans l’indifférence
Maeva de L’Isle
Amiens, le 7 mars 2008
A tous les hommes que j’ai aimés
A MES AMIES
Je tiens beaucoup à l’amitié
Pour moi c’est un mont de piété
Sans elle je suis dépourvue
Je ne veux pas être vue
Je vis à travers elle
Car pour qu’elle
Soit toujours belle et entière
Je peux jouer la primesautière
Jamais, je ne prostituerais mas pensées
Car l’amitié
C’est la vérité
On ne peut vivre sans avoir été
Bien aimé pour toujours
Sans détour
Et sans peine
C’est à peine
Si je veux parler d’elle
Qui est ma compagne la plus belle
Maeva de L’Isle
Nice, le 10 mars 2009
A ma Terre
(vers libres)
Il faut te préserver
Festival de la terre
Nous te fêtons chaque année et
Il faut prendre conscience, mère
Te protéger tout en
Préservant tes ressources
Privilégier les énergies renouvelables quand
L’humanité est en danger, en ours
Nous détruisons trop d’espèces vivantes
Nous sommes les seuls à le faire
Les plantes prennent moins d’énergie solaire
Que nous. Rendons leur hommage
Sans elles, nous ne pouvons vivre
Fêtons notre terre…
Maeva de l’Isle
Méru le 4 mars 2005
A ceux qui sauvent la planète
A Hubert Rives
A François Hulot
A Antoine Bougrain Dubourg
A ma nature
Tes arbres sont de vivants piliers
Tes géants verts nous honorent par milliers
De leur majestueuse beauté
Se penchent vers nous, non par pitié
Juste pour nous saluer
Les odeurs se confondent
En un magnifique folklore d’ondes
Mêlant le parfum des fleurs
Vanille, orchidée, rose et lilas, au cœur
D’un bal d’hortensias le bonheur
Nous inonde et vient nous enlacer
De ses pétales éparpillées
En une pluie odoriférante
Vient nous mouvoir d’une odeur caressante.
Le bruit des feuilles sous nos pieds
Dans les arbres les insectes ailés
Murmurent un doux chant vahiné
Qui enivre
Oiseaux exotiques et rares
Ibis cendré
Kamichi à collier
Spatule rose
Nandou, jabiru, flamands roses
Nature, nous devons te protéger
T’admirer et t’apprécier
Maeva de l’Isle
Amiens, le 17 mars 2008
Todos os direitos autorais reservados a autora
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